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La Promesse de l'Aube

  • Rose-Amélie Bessy
  • 7 févr. 2018
  • 2 min de lecture

La jeunesse de Romain Gary, bercée par le caractère fort de sa mère est racontée dans son livre La promesse de l’aube, sa jeunesse, sa vie, ses exploits et sa détermination sans cesse remise à l’épreuve de ses rêves et surtout de ceux de sa mère. C’est cette histoire qui a inspiré Éric Barbier à réaliser ce film et à rendre cette histoire réelle à nouveau à travers le Septième Art. Pierre Niney, incarnant Romain Kacew ( et Nemo Schiffman dans le rôle de l’auteur plus jeune, jeu incroyable pour les deux acteurs) d’origine Polonaise, Russe et Juive, et Charlotte Gainsbourg incarnant Nina Kacewa (jeu exceptionnelle pour cette actrice parlant couramment Polonais), sa mère, apparaissent à l’affiche de ce film mêlant rire et larmes. Une vie émotionnelle rythmée par les nombreux rêves de sa mère, son périple pour une vie meilleure et la dureté de la figure maternelle souhaitant le meilleur pour son fils rendent cette oeuvre du cinéma français unique et amène le pays et ses cinéphiles à en savoir davantage sur la vie admirable de l’auteur franco-polonais, mais aussi soldat, et diplomate. Paraissant long pour certain, je n’ai pas vu passer les 2h11 retraçant la captivante histoire de l’auteur de romans admiratifs. Les scènes retrouvées à travers le peu de pages que j’ai lu de ces œuvres sont recrées sans supplément, la vraie histoire est projetée à l’écran telle qu’elle et c’est ce qui fait de ce film français tout son succès. Avec une belle note de 4,2/5 par Allociné et de 6,9/10 par SensCritique, Éric Barbier signe ce que l'on considère comme un chef-d’oeuvre du cinéma français qui n’aurait existé sans l’auteur admirable, Romain Gary.

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